Talif Duché Esclavagisme Coupable

Talif était accusé de esclavagisme.

Le jugement a été rendu
Enoncé du verdict
Le prévenu a été reconnu coupable de esclavagisme.
2 talif

et bien le deuxième procès

j'applique la sentence de 15 écus plus 5 écus parce que franchement sa commence a bien faire
Le prévenu a été condamné à une amende de 20 écus.

Acte d'accusation
Accusé Talif,

Vous avez le 1er Novembre, embauché Lilou à 12 écus ce qui est largement en dessous des 17 écus minimum requis en Bourgogne...
La cour est impatiente d'avoir des explications car l'accusé n'en est pas à son coup d'essai ayant déjà été accusé et jugé coupable pour des faits similaires...


Première plaidoirie de la défense
La personne intéressée ne s'est pas manifestée.

Réquisitoire de l'accusation
Vu que Talif n'en est pas à son coup d'essai en matière d'esclavagisme et qu'il n'a pas daigné répondre lors de sa 1ère plaidoirie, je réclame donc une sanction de 15 écus d'amende pour récidive et esclavagisme.
Merci à l'accusé de prendre connaissance des règles régissant son village et surtout de les respecter !


Toultoutim, Procureur de Bourgogne

Dernière plaidoirie de la défense
La personne intéressée ne s'est pas manifestée.

L'accusation a appelé Mahefik à la barre
Voici son témoignage :
Monsieur le Juge, Monsieur le Procureur,

Moi Mahefik, tisserand et éleveur de moutons à Chalon, déclare devant cette Cour que j’ai été témoin de ce que le dénommé Talif a embauché Lilou pour la somme indécente de 12,00 écus. Les faits se sont produits le 1er novembre de cette année.

Lorsque j’ai constaté les faits, je n’ai pas hésité une seconde pour prendre contact avec le lieutenant Maestro et lui ai demandé de me citer comme témoin. Je tiens en effet à signaler que le dénommé Talif n’en est pas à sa première infraction sur le motif d’esclavagisme.

Alors que j’étais encore lieutenant de police à Chalon, j’avais déjà eu à faire à cet individu. Il s’était rendu coupable d’esclavagisme, rétribuant sa victime de douze misérables écus. A l’époque, face au silence du sieur Talif, je n’avais pas eu d’autre choix que de demander l’ouverture d’un procès, à l’issue duquel - sans même daigner venir se défendre- il avait été condamné.
Quelques jours après cette condamnation, j’avais découvert une nouvelle offre d’emploi - toujours pour 12,00 écus - émanant de ce triste sire, j’avais alors mentionné ce nouveau fait dans son dossier au sein du bureau de la prévôté de Chalon (hélas sans suite). Bien entendu, à l’époque, j’avais à nouveau essayé de le joindre, mais j’avais essuyé une nouvelle fois un silence des plus méprisants. Et le voilà à nouveau devant cette Cour, coupable d’une Nième récidive !

Monsieur le Juge, Monsieur le Procureur, le dénommé Talif sait depuis très longtemps qu’en embauchant à 12,00 écus il viole nos lois. Il le sait d’autant mieux qu’il a déjà été condamné pour ça, ce qui ne l’a pas empêché de récidiver par 2 fois.

Je le clame donc haut et fort : Talif a agit avec préméditation et en connaissance de cause. Il bafoue volontairement nos lois car il se croit au-dessus, il se moque de ses congénères, de la Prévôté et, pire encore, de vous messieurs de la Cour. Si nous voulons que de tels agissements cessent et que ce genre d’individus cesse de nuire, vous devez le sanctionner avec une extrême sévérité afin de lui ôter toute envie de recommencer. Sinon il recommencera et d’autres suivront son exemple, sachant qu’ils ne risquent pas grand-chose.

Faites-le pour le bien de la Bourgogne et des Chalonnais.

L'accusation a appelé Maestro à la barre
Voici son témoignage :
Alors monsieur le juge bonjour !

Alors d'abord je me permet de vous rectifier, à Chalon la salaire minimum en vigueur est de 18 écus !
Sinon Talif est multirécidiviste en ce qui concerne les offres d'emploi de ce genre, donc avec le procureur on s'est mis d'accord exceptionnelement pour lui laisser moins de temps pour appliquer la JA mais Talif n'a pas pris le temps de me répondre une nouvelle fois !
La victime, elle, souhaite être dédommager !
Apparement Talif n'a toujours pas compris les régles des salaire de Chalon, et il me semble que c'est l'ex lieutenant Mahefik qui s'est charger de lui il y a de celà quelques temps avant qu'il parte en retraite, et de même Talif n'avait pas répondu à ces lettres !

Voilà je n'ai rien à ajouter !